Samedi midi, message de Christophe sur le répondeur (il est chez son père en fin de semaine):
- Maman, rappelle-moi quand tu auras 2 minutes.
Je le rappelle, et s'ensuit cette conversation:
- Maman, tu sais dans Pirates des Caraïbes, qu'est-ce que tu penses qu'il arrive à la fin au monsieur, le religieux?
(Attention, il est bon ici de préciser le sujet pour ceuzes-là qui n'ont pas vu le film, soit Pirates des Caraïbes 4 - la fontaine de jouvence. À la fin du film, l'écclésiastique est embrassé par une sirène qui le traîne au fond de l'océan. Il faut aussi dire que dans ce film, les sirènes sont des créatures méchantes qui veulent la mort des hommes. Mais qu'une "histoire d'amour" a eu l'air de se développer entre ceux deux-là. Fin de la parenthèse).
- Heu, bien, j'hésite entre deux choses. Soit il meurt noyé parce que la sirène l'a entraîné dans l'eau, soit le baiser l'a transformé en homme-sirène et qu'il vit là avec elle.
- Non, je ne pense pas que ce soit ça qui arrive. Ni un, ni l'autre.
(J'aurais dû me douter que sa question visait plutôt à m'exposer son point de vue...)
- Tu crois? Comment ça?
- Écoute. Dans le film, à moment donné, ça dit : "le baiser d'une sirène peut éviter la noyade". Moi je pense que comme elle l'a embrassé, il ne s'est pas tranformé en sirène, -de toute façon, les sirènes, c'est juste des filles- et qu'il n'est mort, parce que le baiser empêche la noyade. Non, il peut juste maintenant vivre dans l'eau avec elle.
- Ah oui? Ça a du bon sens, tu as probablement raison mon petit homme.
- C'est sûr que j'ai raison, ça le dit dans le film que le baiser d'une sirène peut éviter la noyade.
- D'accord, je te crois, ça doit être ça.
- Ok. Bye maman, je t'aime!
- C'est tout, tu voulais juste me dire ça?
- Ben oui! (sur l'air de: c'est évident!). Bye!
Raccrochage.
Ne me demandez pas ce qui s'est passé, je ne le sais pas plus que vous...
lundi 30 mai 2011
mercredi 18 mai 2011
Le printemps parisien
Non, cette photo n'a pas été prise l'été dernier. Mais il y a quelques jours, à Paris. À Versailles pour être plus précise. Signe qu'en ce temps de froid et de grisaille, il y a de l'espoir. C'est l'été quelque part sur cette terre. Courage.
P.S. Si l'argent poussait dans les arbres, je sauterais dans le premier avion pour Paris. Là maintenant!
P.S. Si l'argent poussait dans les arbres, je sauterais dans le premier avion pour Paris. Là maintenant!
samedi 7 mai 2011
Notre Julie
Depuis aussi longtemps que je me souvienne, Christophe et moi avons toujours appelé Julie "notre Julie". Parce que nous connaissons d'autres Julie et que celle-ci est spéciale pour nous, nous l'avons distinguée ainsi. Hier, nous avons eu une visite surprise de notre Julie, qui était à Québec en réunion et qui est passée à la maison. Christophe était vraiment très heureux quand il nous a vu arriver ensemble à l'école: vous auriez du voir le sourire qui a illuminé son visage! Et puis, c'était fête: Christophe et Julie on proposé de commander du St-Hubert et on a mangé dans le salon. Quand Julie est repartie après souper, Christophe s'accorchait après elle et ne voulait pas, il voulait qu'elle reste. On va la revoir bientôt, puisqu'on prévoit une petite virée mère-fils à Montréal dans les prochaines semaines. Ouf a dit Christophe....
Vous voyez? Ils s'aiment d'amour ces deux-là :-)
Vous voyez? Ils s'aiment d'amour ces deux-là :-)
dimanche 1 mai 2011
Lance et compte au Colisée
Il y a quelques semaines, Sophie nous a entraînés au tournage de Lance et compte au Colisée. Alors que je m'attendais à ce que Monsieur Christophe rechigne, ce ne fut pas le cas. Ma foi, pourrait-on l'intéresser au hockey?? (c'est son père qui serait content). Une fois sur place, assis confortablement (!) entre Sophie et moi avec son popcorn, son hot dog et son jus, Christophe nous a écouté attentivement lui décrire ce qui se passait sur la glace. Du moins c'est ce que nous croyions. Une fois ses victuailles terminées, il a déclaré:
- Bon, on s'en vas-tu maman?
Diantre. Ce n'est pas le hockey qui l'avait attiré, mais la bouffe.... (ce qui me rassure tout de même, ça lui ressemble plus que de le voir en amateur de hockey).
- Bon, on s'en vas-tu maman?
Diantre. Ce n'est pas le hockey qui l'avait attiré, mais la bouffe.... (ce qui me rassure tout de même, ça lui ressemble plus que de le voir en amateur de hockey).
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